À Ecostylia, nous aimons guider nos lecteurs dans l’univers foisonnant de la mode contemporaine. Invitée à couvrir l’événement, notre équipe vous propose de redécouvrir Tranoï — salon professionnel incontournable qui s’inscrit pleinement dans la dynamique de la Paris Fashion Week, édition prêt-à-porter féminin Automne–Hiver 2025-2026. Cet événement est réputé pour sa sélection pointue et son ambiance conviviale, réunissant sur une même plateforme créateurs indépendants, marques émergentes et acheteurs internationaux. Le nom Tranoï, probablement inspiré de l’expression italienne tra noi — « entre nous » — instaure un climat d’échange idéal pour tisser des partenariats solides. Ainsi, malgré son envergure internationale, ce salon BtoB conserve une atmosphère chaleureuse, propice aux collaborations fructueuses.
Un concept visionnaire pour la mode actuelle
Fondé en 1998, Tranoï a fait ses débuts au Palais Brongniart. Cependant, il s’est rapidement imposé comme un acteur incontournable sur la scène de la fashion week parisienne. En effet, il met en avant des collections innovantes, favorisant l’audace créative et le savoir-faire artisanal.
Cette vitrine internationale attire des créateurs émergents en quête de visibilité. De plus, des marques établies viennent y renforcer leur présence sur le marché global. Les uns comme les autres y trouvent un public professionnel attentif, prêt à nouer des partenariats stratégiques.
Un rendez-vous propice à l’innovation
Tranoï ne se limite pas à une simple exposition de prêt-à-porter. En effet, il agit comme un hub créatif, stimulant la rencontre entre stylistes, acheteurs et journalistes. Dans ce cadre, les stands bénéficient souvent d’une scénographie immersive, soulignant la singularité de chaque univers.
Les visiteurs découvrent ainsi de nouvelles tendances, des matières écoresponsables ou des designs futuristes. Ainsi, les acheteurs professionnels repèrent rapidement les grands courants qui façonneront la mode de demain. Les collaborations prennent forme au gré des échanges, consolidant la réputation de Tranoï comme tremplin pour marques ambitieuses.
Une offre riche : mode, accessoires et art de vivre
Chaque édition rassemble des créateurs de prêt-à-porter, des spécialistes d’accessoires et des acteurs du lifestyle. Parfois, des espaces dédiés à la beauté ou à la décoration viennent compléter ce panel créatif.
Des labels comme Evi, réputé pour ses sneakers fabriquées en France ou Kaloes, axé sur le raphia artisanal, y trouvent une audience venue de nombreux pays. Ainsi, Tranoï propose un carrefour international, où la curiosité et l’exigence artistique prédominent.
Marques repérées par Ecostylia
Nous avons identifié plusieurs marques parfois déjà bien connues de nos confrères journalistes et des professionnels de l’industrie de la mode. Ces griffes reflètent le dynamisme et l’éclectisme qui animent Tranoï.
Marques qui font office de valeurs sûres :
- Stephane Kelian – France – Chaussures haut de gamme, héritage artisanal et prestige de la mode française.
- Maison Lener – France – Manteaux de luxe, élégance intemporelle et fabrication soignée.
- H+ Hannoh Wessel – Italie – Style singulier entre minimalisme et sophistication artisanale.
- Elsa Esturgie – France – Mode éthique et intemporelle, approche durable et élégance minimaliste.
- Philo-Sofie Cashmere – Autriche – Spécialiste du cachemire, raffinement et modernité.
- Cecilia Prado – Brésil – Pièces tricotées de luxe, savoir-faire brésilien et touche d’innovation.
- Simeon Farrar – Royaume-Uni – Designer-artiste, imprimés uniques et identité très créative.
- Redemptive – Hong Kong – Streetwear contemporain, valeurs éthiques et design audacieux.
- Umit Unal – Turquie – Esthétique minimaliste et unisexe, appréciée dans la mode conceptuelle.
- Vineetrahul – Inde – Savoir-faire artisanal indien, lignes contemporaines et fusion des influences.
Celles qui selon nous promettent pour l’avenir :
L’équipe Ecostylia a également noué de bons contacts avec d’autres marques au potentiel élevé :
- Krejberg Creative Studio – Studio dirigé par Roy Krejberg, design très original.
- Myo Paris – Marque parisienne représentée par Mehdi Ouhnia, dotée d’une identité visuelle marquante.
- Pinnacle Shruti – Créée par Shruti Sancheti, basée en Inde et ouverte sur un marché international.
- Maancy – Marque active dans l’univers digital, engagé dans la mode et l’innovation.
- Ishii Master – Entreprise japonaise pilotée par Ishii Satoshi, tournée vers le design textile.
Nous remercions chaleureusement Vincent Lyleire pour ses éclairages.
Un réseau international en pleine expansion
Tranoï brille à Paris, mais s’exporte également au Japon via Tranoï Tokyo. Ainsi, il accompagne la Fashion Week japonaise et renforce sa stature d’événement mondial.
Cette approche internationale s’appuie sur The Creative Pole, pôle réunissant divers salons BtoB majeurs. De plus, des partenariats avec Première Vision consolident le rang de Tranoï comme passage obligé pour tous les acteurs de la mode.
Les raisons d’exposer à Tranoï
À Ecostylia, nous constatons que Tranoï se distingue par son accompagnement stratégique. En effet, l’organisation propose des webinaires ciblés et des retails tours, afin de maximiser la rencontre entre créateurs et acheteurs.
De multiples collaborations voient le jour. Ainsi, la jeune griffe Mila & Loom a conclu un accord avec un concept store asiatique, dès sa première participation. Ces réussites démontrent la force de Tranoï comme accélérateur de croissance et vitrine internationale.
Une alliance artistique avec Temple Magazine
Pour l’édition automne-hiver 2025-2026, Tranoï collabore avec Temple Magazine, reconnu pour fusionner art, mode et technologies. Ainsi, le salon s’enrichit d’une direction artistique audacieuse, mettant en lumière la transversalité des disciplines.
Une invitation d’Ecostylia
Pour nous, Ecostylia, Tranoï incarne toujours la vitalité d’une mode en pleine effervescence. Ainsi, nous vous recommandons vivement de parcourir ce salon essentiel, où se dessinent les tendances de demain.
Pour approfondir votre découverte, rendez-vous sur Tranoï.com.
