Quand Elon Musk devient Kekius Maximus, empereur loufoque d’Internet

Donald Trump et Elon Musk dans une salle de palais royal

Elon Musk a encore frappé. Cette fois, il s’autoproclame « Kekius Maximus » sur la plateforme X (oui, Twitter, mais chut, c’est un secret). Avec ce pseudonyme sorti tout droit d’une fanfiction à faible budget, le milliardaire continue de repousser les limites de l’absurde. Mais que se passe-t-il encore dans la tête de ce magnat des fusées et des polémiques ? Plongée hilarante dans le cirque électronique où Musk est à la fois clown et dompteur.

Kekius Maximus : entre gladiateur, grenouille et génie autoproclamé

Dans l’univers délirant d’Internet, « Kekius Maximus » sonne comme une version discount de Maximus Decimus Meridius, le héros musclé de Gladiator. Mais Musk ne s’arrête pas là : il associe ce surnom à « kek », une expression digne d’un ado orc dans World of Warcraft, et y ajoute une image de Pepe la Grenouille en gladiateur. Oui, Pepe, ce même devenu le symbole officiel des trolls et de ceux qui pensent que les chemises à carreaux sont une idée de tenue formelle.

Comme toujours, Musk ne fait rien à moitié : sa lubie a fait grimper de 1 400 % la valeur d’une obscure cryptomonnaie baptisée « KekCoin ». Moralité ? Même une grenouille virtuelle peut rapporter plus que votre plan d’épargne retraite.

Kekius Maximus en action : Mars peut attendre, Pepe la Grenouille est la priorité
Kekius Maximus en action : Mars peut attendre, Pepe la Grenouille est la priorité

L’art du chaos, signé Musk

Est-ce une blague ? Une critique sociale ? Ou simplement un défi lancé à l’univers pour voir jusqu’où il peut aller sans conséquences ? Avec Musk, tout est possible, sauf une explication claire. Rappelez-vous : c’est l’homme qui a rebaptisé Twitter « X » sans que personne ne le demande et qui a transformé la messagerie en un tableau d’affichage digne d’un bar de geeks un vendredi soir.

Et que dire de ses autres facéties ? Musk a envoyé une voiture Tesla dans l’espace (parce que pourquoi pas ?), baptisé son fils X Æ A-12 (un coup de Scrabble perdu ?) et fumé du cannabis en direct chez Joe Rogan, faisant baisser les actions Tesla plus vite qu’une clope mal roulée.

Entre Mars et les mèmes

Musk prétend vouloir coloniser Mars, mais à ce rythme, on se demande s’il ne préfèrerait pas devenir le roi des mèmes interstellaires. Sa dernière idée de génie ? Neuralink, une puce cérébrale pour échanger des émotions et des mèmes directement entre cerveaux. Prochaine étape : graver ses tweets sur des plaques lunaires, histoire de marquer l’éternité de son absurdité.

Le dilemme Musk : génie qui fait son bouffon

Peut-on être à la fois l’homme qui révolutionne la voiture électrique et celui qui vend des shorts en satin rouge (oui, Tesla Short Shorts est réel) ? Musk, c’est un peu comme un buffet de mariage : il y a de tout, mais rien ne va ensemble. On oscille entre admiration pour ses ambitions écologiques et consternation devant son jet privé toujours prêt à décoller pour une « urgence mème ».

Kekius Maximus : un milliardaire pensif, déjà en train de planifier son prochain coup d’éclat mème.'Pepe gladiateur' était-il vraiment sa meilleure idée de la semaine ?
Kekius Maximus : un milliardaire pensif, déjà en train de planifier son prochain coup d’éclat mème.’Pepe gladiateur’ était-il vraiment sa meilleure idée de la semaine ?

Et ne parlons même pas de ses épisodes Twitteresques : traiter un plongeur de « pedo guy », créer un lance-flammes (« ce n’est pas un lance-flammes », bien sûr), ou promettre de racheter Coca-Cola pour y remettre de la cocaïne. Musk est l’équivalent humain d’un sketch des Monty Python.

Kekius Maximus : roi d’un empire risible

Avec « Kekius Maximus », Musk ne se contente pas de s’égarer dans l’absurde : il le transforme en spectacle. Entre gladiateurs, grenouilles et cryptomonnaies, il défie les conventions et réinvente l’image du milliardaire. Pourquoi viser la lune quand on peut régner sur un royaume où même le ridicule rapporte gros ?

Alors, où s’arrêtera-t-il ? Peut-être jamais. Musk ne vise pas la perfection, il vise l’éternelle surprise. Et nous, pauvres spectateurs, restons suspendus à ses frasques, entre éclats de rire et soupirs désabusés. Vive Kekius Maximus, empereur de l’absurde, roi des mèmes, et tyran des tendances !

Commentaires

Articles liés